Chapitre 2 - Ensemble pour le meilleur et pour le pire

Après m’être levé je pris soins de mes besoins puis partit au travail. Mon patron, voyant mes efforts au boulot, me promu. J’étais content et puis cela me rapporta quelques simflouz.

 

Ce n’était pas grand-chose mais cela me permis d’acheter un bureau avec un ordinateur ainsi qu’une poubelle car la vaisselle commençait à s’accumuler. 

 

 Un peu plus tard dans l’après-midi, je reçu une agréable visite ;

 

 

En effet, Julie était passée pour voir comment j’allais. Je fus gêné de l’accueillir dans ma maison (si j’ose dire). Faute de chaises, on s’assit sur mon lit et on parla. Elle me raconta sa vie, puis je racontai la mienne, je lui expliquai pourquoi j’étais si pauvre et ce que je faisais à Willow Creek. Au fur et à mesure que je faisais connaissance avec  Julie, des sentiments en moi augmentaient, j’avais le cœur qui battait de plus en plus vite. C’est donc vrai, je suis amoureux de Julie.

  

 

On se promena un peu, puis au coucher du soleil ne pouvant plus résister à lui dévoiler mes sentiments je craquai et lui dévoila tout mon amour.
Au départ elle était un peu gêné, je me sentis mal à l’aise, ne sachant pas si j’avais bien fait de lui dévoiler mes sentiments aussi vite. 

 

 

Puis elle me prit les mains et me déclara qu’elle aussi était amoureuse de moi. Je lui offris une rose et la combla de milles baisers.

 

Pour fêter notre union, je l’invitai le soir à dîner et dormir chez moi. J’achetai rapidement un lit deux places ainsi qu’une table avec deux chaises. Je fis la cuisine, rien de transcendant mais elle avait l’air d’aimer. Puis nous fêtions notre première nuit ensemble. C’est la première fois que je fus aussi heureux d’être à Willow Creek.

 

Juste avant de partir au travail, Lucie m’embrassa sur la joue pour me dire :

« A ce soir mon cœur, bonne journée »

Cette phrase me mit de bonne humeur et je partis au travail comme sur un petit nuage.

 

En rentrant du boulot, j’eu une agréable surprise. En effet ma femme s’était fait un relooking en allant chez le coiffeur et en refaisant sa garde-robe.

 

 

 

 

 

 

 

Bien que je l’as trouvait belle avant. Aujourd’hui, elle fut encore plus belle. Elle m’annonça aussi qu’elle avait trouvé un emploi en tant qu’écrivain.

Comme nos deux salaires ne suffisaient pas. Je continuai  d’entretenir notre jardin tandis que Julie commença à écrire son premier livre pour enfants ; « Compter quand on ne sait pas compter ».   

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Bon, comme vous pouvez le voir, ma fortune ne croît pas aussi vite que mon pommier…

 

 

Avec nos carrières, les WC sales et défectueux et les ordinateurs détériorés… 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

…Les journées sont longues pour Julie et moi…

 

 

 

 

 

 

 

Mais malgré nos difficultés à reconstruire le manoir, cela n’entachait pas notre amour.

 

 

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